Je me souviens de dessins entassés dans mes tiroirs de bureau, au cours de mon enfance et de mon adolescence… Puis un grand silence pictural !

 La vie professionnelle et la vie familiale ont mis entre parenthèses le temps créatif, qui a retrouvé sa place avec un temps personnel plus important. Je me décide alors à prendre quelques cours afin d’acquérir des bases.

Je découvre alors le fusain, la sanguine, le pastel gras, l’huile, l’aquarelle et l’acrylique. L’encouragement de mes différents professeurs m’a amenée à prendre confiance en moi et à mettre en œuvre avec plus de sérénité mes projets.

Ce sont les portraits que je prends le plus de plaisir à travailler, tant pour la difficulté à rendre des expressions, que pour la richesse offerte par la diversité humaine… mais aussi pour les multiples possibilités techniques et stylistiques de les aborder. Je relève malgré tout avec autant d’enthousiasme quelques défis en participant à des expositions à thème. 

Pour progresser, il me faut sans cesse me motiver, observer, chercher, construire, détruire pour mieux ré-inventer et ne surtout pas me contenter de rester dans une zone de confort invalidante.